Buenos Aires… rien qu’en évoquant son nom, on sent déjà la palpitation de la capitale perdue entre l’embouchure du rio de la Plata et la pampa argentine. Cité du tango par excellence, ville cosmopolite qui a vu se succéder des générations d’immigrants, Buenos Aires est fascinante ! Après avoir parcouru l’intérieur du pays pendant près de deux mois, nous découvrons enfin sa capitale. Elle est à l’image du reste du pays : chaleureuse, moderne, latine et européenne à la fois. Un coup de cœur !
Pour ceux qui atterrissent ici, le dépaysement n’opérera pas directement. Chaque quartier a son style bien différent, tantôt moderne, tantôt colonial, européen, italien… Nous y avons passé 6 jours, ce qui nous a permis d’en faire le tour, à un rythme tranquille.
Impossible de lister dans un article tout ce qu’il y a à faire et à voir. Voici donc ce que nous avons retenu de notre semaine dans la capitale où Ségo, mon amie d’enfance et Célia, une collègue à elle, nous ont rejoint ! On était donc 3 avec David la première moitié de la semaine et 5 durant la deuxième moitié.
Buenos Aires en 10 incontournables
1. Voir un spectacle de tango
Le tango coule dans le sang des porteños, les habitants de Buenos Aires. Il se compose de 3 danses : le tango, la valse argentine et la milonga. C’est une danse magnifique à voir. Les danseuses sont toujours très élégantes et les danseurs dignes. Tout est question de séduction, de sentiment, de sensualité. Il serait dommage de manquer ça. Sans chercher à voir un spectacle, on tombe facilement sur des danseurs dans la rue en train de faire une démonstration.

Pour assister à un spectacle de tango, on peut soit se rendre dans un bar à tango, soit à un dîner-spectacle, soit simplement à un spectacle. Ce serait trop long de décrire tous les endroits ici : internet et le guide du Routard le fait très bien.
Nous on a choisi de se rendre au Centro Cultural Borges qui se trouve dans les superbes Galerías Pacífico, une grande galerie commerciale au style haussmannien avec une coupole ornée de de jolies fresques. Prix : 520 $ Ars soit environ 12€ pour 1h15 de show avec un début à 20h. Il y en a tous les soirs. Selon beaucoup d’argentins, ce centre culturel est l’un des meilleurs rapport qualité-prix de la ville.

Prendre des cours de tango
Il est possible de prendre des cours de tango même pour les débutants. Même pour des gens qui n’ont pas du tout de chaussures et de tenues adaptées comme nous. Là aussi, je ne vais pas lister les possibilités. Nous nous sommes rendus à la Catedral dont on avait entendu beaucoup de bien. Il s’agit d’une énorme salle au haut plafond en forme de coque de bateau retournée. Prix : 150 $ Ars pour 1h30 de cours. Bon en fait le cours commençait à 20h30 et non pas 19h30, donc on a attendu tous seuls dans une salle vide sans possibilité de commander boisson ou repas. Le cours était un peu rapide, les professeurs nous ont appris les pas de base mais ils sont monté (trop) rapidement en difficulté. On a pas eu le temps de tout assimiler mais on se rend encore plus compte de la difficulté des danseurs pros !
2. Visiter le quartier branché de Palermo
Ce quartier résidentiel se divise en deux parties : Palermo Hollywood, plus récent, et Palermo Soho, plus bohème. C’est selon nous, le meilleur endroit pour se loger et on y trouve de nombreux bars et restaurants à la mode. On a déniché un Airbnb de folie pour pas cher du tout avec piscine roof top qu’on recommanderait à tout le monde (rdv dans les infos utiles en bas de l’article pour le lien).

Ce quartier est vraiment tranquille. Le mieux est de le découvrir en se baladant dans les rues proches de la calle Costa Rica. On tombe sur des jolis bâtiments coloniaux colorés, du street art et des restos design. En se promenant jusqu’au nord, ne pas manquer selon nous le parque de Palermo, gigantesque espace vert et véritable havre de tranquillité dans la trépidante Buenos Aires. Idéal si on veut faire du footing, ou du vélo. Tout est aménagé et conçu pour.
3. Parcourir le centro de Buenos Aires
Le centro est le cœur de la ville. Celui des administrations, des banques, des entreprises et du palais du gouvernement. Les beaux bâtiments à l’architecture néo-baroque, Belle Epoque et Art Déco se mélangent à des buildings austères. Si on se laisse aller au gré des rues, on tombe sur de petites pépites.

Le lieu le plus central de ce quartier est la Plaza de Mayo : grande place témoin de l’histoire du pays puisqu’elle a vu les espagnols planter leur premier campement ici-même jusqu’à la formation du premier gouvernement du pays le 25 mai 1810… d’où son nom. Au centre, trône un obélisque et tout autour des édifices historiques tels que la Catedral Metropolitana aux airs de bâtiment parlementaire, le Cabildo (l’un des derniers bâtiments datant de l’époque coloniale), le palacio municipal et le palacio de gobierno appelé Casa Rosada.
Précisons que si le palais gouvernemental est rose, ce n’est pas dû à la couleur de la pierre mais tout simplement à un coup de peinture. Sacrilège diront les européens ! La raison est qu’en 1868, 2 partis principaux s’affrontaient : les Fédéralistes en rouge, les Unitaristes en bleu. Tiens ! Ça nous rappelle quelque chose… Dans un but consensuel, le président Sarmiento fit d’abord peindre le siège en rouge, puis en bleu pâle, ce qui donna cette sorte de rose.
Notons aussi, le museo del bicentenario, établi dans l’ancienne cours des douanes et où on voit les vestiges du fort de Buenos Aires. Il retrace l’histoire de Buenos Aires en vidéo et à travers des objets.

Au sud de la place, en direction du quartier de San Telmo, on retrouve la Farmacia la Estrella qui a gardé tout son charme datant de 1834. La Manzana de las luces est aussi recommandé mais on n’y a pas trouvé grand intérêt.
Les rues au nord de la plaza Mayo sont appelées le micro-centro. Elles bourdonnent la journée mais le soir, c’est le calme plat. On conseille de pousser jusqu’aux Galerias Pacifico (là où on est allé voir notre spectacle de tango) à l’architecture haussmannienne.
4. Se prendre en photo au pied de l’obélisque de l’avenida 9 de julio
Outre la plaza de mayo, l’autre essentiel de ce centro est l’avenida 9 de julio, comparée aux Champs Elysées argentins. Pas vraiment de ressemblance, mais c’est l’avenue la plus longue et la plus large où est érigé le fameux obélisque depuis 1936 pour commémorer les 400 ans de la ville. Pas franchement beau, mais on ne peut pas repartir sans l’avoir vu !

De l’autre côté de l’avenida, on a bien aimé le teatro Colon, le teatro nacional Cervantes et le Congreso Nacional.

5. Se plonger dans les traditions culinaires argentines
Buenos Aires, c’est sans doute la ville où tu débarqueras en premier après de longues heures de vol. Pour nous, ça n’a pas été le cas puisqu’on a d’abord parcouru le pays dans la Cordillère des Andes, puis en Patagonie, avant de découvrir -enfin- sa capitale. En arrivant, il faut se mettre à certaines traditions bien ancrées chez les argentins.
Sur le haut du podium vient incontestablement le mate, véritable institution en Argentine. C’est une infusion de yerba mate (herbe à mate, de la famille du houx, qui pousse dans la région tropicale du nord-est de l’Argentine) que l’on verse dans une calebasse évidée (mate) et que l’on boit avec une paille en métal : la bombilla. Les argentins en boivent toute la journée à n’importe quelle heure, à n’importe quel endroit. Ils ont en permanence leur thermos d’eau chaude dans la rue pour re-remplir leur mate. À titre d’exemple, les gens s’encombrent de leur thermos jusque dans les parcs nationaux, ou dans les treks de Patagonie !! Les jeunes qui se retrouvent dans les villages, amènent tous leur calebasse et leur thermos. Les stations-service mettent souvent de l’eau chaude à dispo. C’est dingue !

Le plus surprenant est que pour les touristes, il est quasiment impossible d’en trouver dans les bars. On a tout de même pu en goûter à deux reprises grâce à de sympathiques argentins à qui on montrait un intérêt certain : c’est très amer ! Note : ne jamais refuser un mate offert de bon cœur. Les argentins ont envie de faire découvrir leur culture et cela peut s’avérer très vexant pour eux !
L’autre must argentin est l’empanada. Un espèce de chausson fourré principalement à la viande de bœuf, de poulet ou au fromage. Mais il existe de (délicieuses) variantes. Les empanadas sont cuites au four (bien meilleur selon nous) ou frites, et vendues chaudes dans de nombreuses échoppes. Elles sont souvent très bonnes et sont un moyen simple, rapide et économique de casser la croûte. On en trouve dans tout le pays. On en trouve même dans les pays voisins du Chili et de Bolivie. Nous on adore !

Une autre spécialité argentine omniprésente : le dulce de leche. C’est de la confiture de lait. Elle est utilisée à toutes les sauces : à tartiner en petit-dej, en accompagnement d’un flan, en glace, dans les alfajores, ces espèces de macaron avec de la farine de maïs. On adore aussi !

Une autre boisson délicieuse à goûter est le licuado : fruit mixé avec du lait. Mais on peut le demander à l’eau, ce qui en fera un simple jus de fruit. C’est délicieux et frais. L’intitulé ne me donnait pas plus envie que ça, et dans les régions plutôt froides de Patagonie, j’avoue que j’étais plus en recherche d’un bon cappuccino mais quel regret ! J’ai enfin goûté le licuado (de banana) à Buenos Aires et j’en ai redemandé jusqu’au bout du pays 😊
Une des autres curiosités gustatives est le Fernett-coca. Rien de bien local : on utilise du Fernett Branca, liqueur italienne, qu’on mélange avec du Coca-Cola. C’est l’apéritif à la mode dont les argentins raffolent. C’est un espèce d’Aperol-Spritz au goût de médoc. Ça passe une fois, mais on en redemande pas !
Le café est souvent de bonne qualité, influence italienne oblige… Mais quelle ne fut pas notre surprise de retrouver dans de nombreux hôtels du café en « saquitos ». Il s’agit de café moulu mis dans des petits sachets à faire infuser… comme une tisane ! Pas le meilleur, mais on s’y fait !
Et puis bien sûr, si on vient ici, il faut goûter le fameux malbec de Mendoza, les bières locales comme la Quilmes, la Patagonia, la Cape Horn…
Vous l’aurez compris, pour nous visiter un pays, c’est aussi et surtout goûter à sa gastronomie. En Argentine, tu ne seras pas déçu !
6. Déguster une délicieuse pièce de bœuf argentine

Oui, je consacre un paragraphe bouffe juste dédié à la viande. Car, si tu veux passer à côté des autres spécialités, on pourrait te le pardonner (et encore) mais passer à côté du bœuf argentin, impossible. La viande argentine est réputée dans le monde entier pour sa qualité. Bon, ça c’est sur le papier. Car l’Argentine est aussi l’un des plus gros producteurs de soja au monde, utilise pesticides et glyphosate et les pauvres bêbêtes mangent ça et nous… on mange les bêbêtes… Au final, nous avons eu très peu d’endroit en Argentine où la viande était à la hauteur du mythe. (Peut-être dû à notre budget de tourdumondistes). Le secret c’est de réserver son argent pour manger dans de très bonnes tables. Et ça tombe bien, à Buenos Aires, on a mangé notre meilleure viande de tout notre voyage. Rendez-vous chez Don Julio dans le quartier de Palermo Soho. On avait pas réservé notre table ce qui fait qu’il y avait 2h30 d’attente… pas de soucis, on s’est inscrit sur liste d’attente et on s’est rendu dans un bar du quartier pour boire l’apéro. À savoir aussi que pour patienter, le restaurant offre des verres de mousseux à volonté ! Merci encore à David pour l’invitation !
Ojo de bife et bife de chorizo sont les meilleures pièces du bœuf. La cuisson est parfaite, la viande est tendre à souhaits. Le bœuf argentin tient ici toutes ses promesses. Attention, les portions de viande sont gigantesques, comme partout en Argentine, une pièce pour deux suffit ! Désolée, pas de photo de ladite viande, elle a directement fini au fond de notre estomac.

Si tu es végétarien, malheureusement on ne peut rien pour toi. Allez, fais une petite exception :p
7. Se la jouer routard bohème à San Telmo
Depuis la plaza de Mayo jusqu’au parque Lezama, s’étend le joli quartier de San Telmo. L’architecture tranche avec le centre : pas de hauts immeubles, mais de grandes maisons de style colonial. C’est dans leurs murs qu’est né le tango ! San Telmo est plutôt bohème et routarde.

On a adoré le mercado San Telmo, temple de la bonne bouffe avec tous ces petits kiosques où on peut s’asseoir pour manger bon et pas cher. On y trouve aussi des boutiques très sympas qui vendent des matés avec leur bombilla.
Dans le reste du quartier, ne manque pas El Zanjón, la calle Defensa et la plaza Dorrego. Cette place est joliment ombragée et des terrasses s’articulent autour de danseurs de tango.
Il faut se prendre dans les rues et rentrer dans les bâtiments quand c’est possible pour vraiment découvrir ce quartier.
8. Découvrir le quartier coloré de La Boca
Voici un quartier tout petit à l’échelle de la ville mais à ne surtout pas manquer. Les maisons sont peintes avec des couleurs vives et donnent une atmosphère qu’on ne retrouve nulle part ailleurs dans le monde.
Promène-toi donc dans le Caminito et profites-en pour t’imprégner de cette autre atmosphère de la ville.

Pour les amateurs de football, impossible de rater le passage à la « Bombonera », le stade de foot mythique de la Boca Junior ! Tout le quartier autour est peint en bleu et jaune ! On n’en a pas eu l’occasion, mais on aurait bien aimé assister à un match ici. Pour les locaux, le foot est plus qu’une religion !

Attention cependant, en dehors des 3-4 rues touristiques, le quartier n’est pas réputé pour être très safe. Nous on y est allé à pied depuis San Telmo, il ne nous est rien arrivé et on a pas ressenti de danger particulier même si la faune ne nous inspirait pas confiance. (Bon juste une petite bagarre entre locaux avec des tables renversées et un nez cassé… La routine quoi !). Mais il faut dire qu’on avait la chance d’être 5 et qu’ils « s’attaqueraient » à moins nombreux. Prudence, donc. Mieux vaut y aller en taxi.
9. Retrouver des airs de Paris à Recoleta
Recoleta a encore un autre visage que les autres quartiers. Le cœur part depuis la Plaza Francia, espace vert très agréable, et le museo nacional de Bellas Artes. A côté de celui-ci, on est allé voir Floralis Generica, nouveau symbole de la ville de Buenos Aires. Il s’agit d’une grosse fleur avec des pétales de métal de 23 mètres qui s’ouvrent le jour et se ferment la nuit.

En allant vers le sud, on découvre un centre culturel très coloré qui jouxte l’iglesia Nuestra Señora del Pilar à la façade blanche très sobre mais à l’intérieur riche. Juste à côté se trouve le Cementerio de la Recoleta. Surprenant cimetière de type père Lachaise. 4870 tombeaux sur 55 000 m² ! C’est un véritable petit village qui abrite de somptueux caveaux appartenant aux familles illustres de Buenos Aires.
Fait surprenant : les cercueils sont quasiment tous apparents dans les caveaux, le dernier « arrivé » est placé au-dessus, et au fur et à mesure de l’arrivée des suivants, il perd un niveau. Quand c’est vraiment plein, on ouvre le plus vieux cercueil, on récupère les restes et on met tout ça dans une urne.

En sortant du cimetière, on s’est ensuite dirigé vers le « quartier parisien » des avenidas Alvear et Presidente Quintana, jusqu’à la Plaza Pellegrini, entourée de magnifiques immeubles bourgeois. Ici, c’est LE quartier chicos de Buenos avec ses boutiques de luxe type Louis Vuitton et Breitling. J’en connais un qui a (encore) bavé devant leurs montres… Mais malheureusement pour lui, tout le budget passe en tour du monde. Vraiment pas de bol.

Encore à l’est de Recoleta, on tombe sur le quartier Retiro dont la Plaza General San Martin est sympathique à arpenter.
10. Se promener à Puerto Madero
Encore un quartier complètement différent du reste ! Les architectes de l’époque voulaient faire de cet endroit le principal port de la ville mais ils ont mal calculé et il est très vite devenu trop petit. L’endroit a ensuite été laissé à l’abandon et s’est dégradé. Mais dans les années 1990, la ville a réhabilité l’espace à coup de millions et il a aujourd’hui des allures de port ultra-moderne et propre.

Dans le canal qui joint la mer, on peut admirer 2 frégates : la fragata del presidente Sarmiento et la corvette Uruguay. Nous avons visité la première (entrée : 5$Ars) : un élégant trois-mâts à vapeur de 1897 ayant appartenu à la Marine nationale argentine qui fit 40 fois le tour du monde entre 1899 et 1938. On peut par exemple y voir des photos de l’équipage reçu à Tahiti, un des lieux où ils préféraient accoster. On se demande bien pourquoi.

Il y a d’autres musées dans le quartier que nous n’avons pas pris le temps de visiter. Un belle promenade.
Bilan : on a vraiment adoré Buenos Aires dont les quartiers ont tous leur propre style et atmosphère. Il faut minimum 4 jours pour bien faire la ville sans courir.
Infos utiles à Buenos Aires
Où dormir à Buenos Aires ?
Comme je le disais plus haut. Nous avons d’abord passé 3 jours à 3 avec David où nous avons dormi dans le quartier de Palermo. Puis 3 jours à 5 avec Ségo et Célia, où nous avons dormi à San Telmo. Entre les deux, pas photo, mais s’il y a « moins » à faire à Palermo qui est plus résidentiel, nous avons largement préféré le quartier il concentre pleins d’endroits pour sortir tout en offrant des logements plus modernes et au calme.
Pour des groupes jusqu’à 4 personnes, nous conseillons cet Airbnb ultra moderne avec cuisine à dispo, lave-linge et surtout piscine sur le toit avec espace terrasse. Le must ! En plus la proprio est hyper sympa et disponible.
Où manger à Buenos Aires ?
Pour de la viande : Don Julio ! On en parle plus haut. C’est une institution de la ville qui se trouve à Palermo Soho et qui tient toutes ses promesses. Les pièces de boeuf sont tellement gigantesques qu’on peut en prendre une pour deux.
Rapa Nui : un glacier qu’on a découvert à Bariloche et qui a une succursale trop mignonne calle Malabia à Palermo Soho. Les meilleures glaces du pays !
Mercado San Telmo : un marché couvert où l’on trouve de tout. Plein de stands où l’on trouve empanadas, tapas, choripan mais aussi raclette et boulangerie française ! Tout y est bon. Absolument génial.
La sécurité à Buenos Aires
Lors de notre voyage à travers l’Argentine, de nombreux porteños rencontrés nous ont alerté maintes fois sur la délinquance à Buenos Aires. Le conseil est de ne porter aucun bijou de valeur ou qui brille (un voleur ne va pas faire la différence dans la précipitation). Ils n’hésitent pas à arracher collier ou boucles d’oreilles… On a donc suivi ces conseils mais il faut dire qu’on a pas vraiment ressenti d’insécurité. Mais je précise une fois de plus qu’on voyageait à 3, puis à 5. On ne devait pas représenter une cible de choix.
Prochain stop : l’Uruguay
Tout cela est si vrai !! Souvenirs identiques !
Le jeu. 21 mars 2019 à 23:20, A World to Explore a écrit :
> stephaworldtoexplore posted: « Buenos Aires… rien qu’en évoquant son nom, > on sent déjà la palpitation de la capitale perdue entre l’embouchure du rio > de la Plata et la pampa argentine. Cité du tango par excellence, ville > cosmopolite qui a vu se succéder des générations d’immigrants, Bu » >
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Nous étions deux et nous avons beaucoup marché dans la capitale sans éprouver de sentiment d’insécurité. Cependant nous avons rencontré plusieurs français qui ont vécu le même scénario : dans le métro une personne maladroite leur a renversé un liquide et s’est précipitée pour les aider pendant qu’un complice s’occupait de leurs bagages, passeport…
Donc comme dit dans l’article, il faut rester vigilant. autrement c’est une ville agréable.
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Le début de notre voyage avec les 2 globe-trotters préférés , une ville haute en couleurs , que de bons souvenirs! Merci pour l’article! Sego
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Génial de partager ça avec vous!
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